Back Market utilise des cookies fonctionnels et d’autres technologies nécessaires à la navigation du site. Nos partenaires et nous-mêmes utilisons également des cookies permettant de mesurer le trafic et de vous montrer un contenu et des publicités personnalisés. En gros, c’est comme si on vous proposait des cookies aux morceaux de chocolat à la fleur de sel au lieu de vieux biscuits aux raisins secs.
Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en cliquant sur « Cookies » au bas de n’importe quelle page. Dites-m’en plus sur ces Cookies
Sanyo propose trois modèles 1080p, PLV-Z2000, PLV-Z3000 et celui qui fait l'objet de cet article : le PLV-Z700. Ce dernier est le moins haut de gamme des trois produits proposés. Il vient se positionner en face de l'Epson EMP-TW980.
Prise en main, ergonomie
Les projecteurs Sanyo sont des modèles d'ergonomie. Connectique très complète (2 HDMI, 2 YUV), ouverture motorisée du cache de la lentille, zoom puissant, lens-shift... Rien ne manque.
Le PLV-Z700 est également très silencieux à l'usage. Nous avons mesuré son niveau de bruit à 24 dB en mode contraste. Le revers de la médaille concerne son embonpoint. Avec 400 x 154 x 346 mm et 7,5 Kg sur la balance, ce beau bébé ne passe pas inaperçu dans votre salon (ou sous votre plafond). Cet embompoint lui interdit toute utilisation en mobilité.
La mise au point suit le zoom. C'est un détail, ceci dit c'est toujours agréable de voir ce type de finition. La consommation est de 1,1 Watts en veille et monte à 201 Watts en utilisation normale (161 W en éco). La télécommande est rétro-éclairée et comporte bon nombre de raccourcis. Elle est strictement identique à celle du PLV-Z2000, ce dont on ne se plaindra pas. Dernier point, si on cherche la petite bête, il ne possède pas de haut-parleur intégré.
Image projetée
Le passage d'une scène très éclairée à une scène très sombre donne lieu à une modification très rapide mais visible de la luminosité. Ceci à cause du mouvement de l'iris. L'oeil exercé ne le ratera pas. Nous pensons tout de même qu'il faut garder ce mode dynamique car il contribue à la profondeur du noir. Dans l'ensemble, le niveau de noir à l'image mesuré est bon et se positionne à 0.23 cd/m². Néanmoins, les bandes noires tirent sur le bleu très foncé (violet) et ressortent par rapport au mur. En conséquence, l'image d'un film très sombre type Matrix peut paraitre un peu délavée. Le fourmillement et les effets de postérisation (dégradés non progressifs) sont très bien maitrisés.
"Back", sans "L" s'il vous plaît. On vous propose ici des produits reconditionnés d'excellente qualité, moins cher que les neufs, et vendus par des reconditionneurs triés sur le volet. Vous en doutez ? Google dit toujours la vérité.